SES AMBITIONS
Au printemps 334 avant JC, Alexandre quitte la Macédoine pour une grande expédition en Asie. Il veut poursuivre l’œuvre de son père : s’emparer de l’Empire Perse, mais aussi conquérir l’ensemble du monde connu.
Au moment de son départ, l’expédition compte 40 000 hommes :
5 000 cavaliers, et 35 000 fantassins (soldats à pied). Ce qui est peu mais ce petit nombre est compensé par une grande supériorité tactique, une armée parfaitement entraînée et dévouée à Alexandre.
5 000 cavaliers, et 35 000 fantassins (soldats à pied). Ce qui est peu mais ce petit nombre est compensé par une grande supériorité tactique, une armée parfaitement entraînée et dévouée à Alexandre.
SON ATOUT PRINCIPAL : L’ARMEE
L’armée macédonienne est composée de cavaliers armés d’un casque et d’une javeline, dirigée par Alexandre lui-même et surtout le gros de la troupe, des fantassins groupés en phalanges.
Une phalange est une troupe de soldats à pied, équipés de longues lances, appelées Sarisses et de boucliers, qui attaque en formation serrée sur plusieurs rangs : les soldats jusqu’au 5ème rang maintiennent leur sarisse horizontale alors que les 3 derniers rangs la dirigent en l’air protégeant ainsi la phalange des traits lancés en hauteur. Quand elle se met en mouvement, la phalange présente à l’adversaire un front de piques acérés que rien ne peut arrêter.
Entre 334 et 323 avant notre ère, ces unités d’élite vont faire parler d’elles sur les champs de batailles, surprenant tour à tour les armées perse et indienne.
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